Un avion dans un paquet cadeau


Non classé / mercredi, juin 12th, 2019

C’est un magnifique cadeau que j’ai trouvé au pied du sapin cette année : une séance de pilotage d’avion. Un cadeau qui m’était offert par un ami passionné d’aviation (qui a plus d’inspiration que moi pour trouver des cadeaux) qu’il me tardait d’essayer. Quelques jours après, j’ai appelé le prestataire pour réserver une date ! Et c’est ainsi que, le week-end dernier, je suis parti à l’aérodrome avec ma chère et tendre pour m’envoyer en l’air. Nous avons fait la connaissance de Nicolas, un pilote qui a 4000 heures de vol derrière lui. Après qu’il nous ait briefé, nous avons pris place à bord de l’appareil et j’ai pris place sur le siège du pilote. Comme l’appareil disposait de quatre places, la belle-famille a pu prendre place à l’arrière en tant que passagers. Normalement, mon pilote-instructeur était censé gérer le décollage et l’atterrissage, qui sont les phases plutôt délicates. Mais ne devais pas avoir l’air assez stressé à son goût, parce qu’il a décidé que je pouvais m’en charger. Ce n’était pas du suicide à proprement parler : notre appareil était un appareil d’auto-école, et les commandes étaient donc en double. Max pouvait ainsi reprendre la main si cela s’avérait nécessaire. Le décollage s’est avéré assez simple, au final. Lorsu’on a pris de la vitesse, il suffit de tirer délicatement le manche, et l’avion quitte la piste. Et en altitude, même un enfant de 5 ans pourrait prendre les commandes. Les petits appareils ont particulièrement maniables et réactifs. D’une certaine manière, j’ai même trouvé ça très simple à piloter ! Là-haut, les déplacements se font certes en trois dimensions, mais il n’y a en même temps ni obstacle ni traffic. D’ailleurs, on peut obtenir son PPL avant même d’être assez vieux pour le permis B ! Consultez notre site Web pour en savoir plus sur bapteme en avion. Pour autant, ça demande de rester concentré à tout moment. L’appareil est certes maniable, son faible poids fait que le moindre souffle de vent le fait osciller en tous sens. Il faut donc rattraper le coup avec le manche. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. La seule partie délicate, au final, c’est l’atterrissage. Mais même là, Yannick est resté les bras croisés, impassible. Cette petite initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette campagne, la vue est en plus somptueuse. Enfin, si j’en crois mon ami. Parce qu’en ce qui me concerne, j’étais tellement concentré sur le fait de maintenir l’assiette de l’appareil que je n’ai que très peu observé le paysage en dessous !