Cette taxe sur les gants du web qui détruit l’économie numérique


Non classé / mardi, décembre 3rd, 2019

La France a récemment imposé une imposition de 3% sur les bénéfices générés par les grandes organisations informatisées sur son territoire, un changement qui fait maintenant l’objet d’une enquête comme d’une formation probablement injuste en matière d’achat et de vente par l’intermédiaire du gouvernement des États-Unis. Les directives juridiques françaises, qui peuvent invariablement avoir un impact sur les titans techniques américains tels que Alphabet, eBay et Fb, constituent le type de taxation que l’Union européenne envisage de mettre en œuvre depuis longtemps. Enhardis par la position de l’UE, les nations orientales et latines des États-Unis ont entamé des discussions sur le chemin des technologies de l’impôt sur le revenu sur les revenus acquis dans leurs régions respectives. Si elles sont appliquées, ces propositions pourraient potentiellement transférer d’énormes sommes d’argent des entreprises de technologie aux économies communautaires. Mais nous soutenons que l’imposition à une dimension des énormes organisations électroniques sur la base de leurs bénéfices bruts est tout simplement un outil trop brutal pour faire face aux déficits financiers supposés des autorités communautaires. Nous avons besoin d’une controverse beaucoup plus importante en la matière et de beaucoup d’astuces plus imaginatives pour garantir une fiscalité acceptable et efficace. Le caractère des affaires évolue rapidement. Les fournisseurs informatisés vendent et supplantent pas mal de marchandises physiques, tandis que les marchands en ligne et les sites Web vendent et remplacent plusieurs points de vente et installations pour le corps. Ces changements réduisent la sélection des taxes d’une ville ou d’un gouvernement national de trois façons au moins. Tout d’abord, à l’exception de plusieurs super institutions créées par des groupes comme Amazon et Tesla, de nombreuses installations industrielles, bureaux, commerces et entreprises ferment et érodent les bénéfices des villes structurés par l’impact foncier de l’impôt sur le revenu des maisons et des dépenses de développement. Deuxièmement, les taxes perçues sur la fabrication ou la valeur accessoire des biens réels pourraient être réduites, ce qui diminuerait les coffres de l’État ou du gouvernement national. Ensuite, les impôts perçus sur les salaires et les revenus des employés disparaissent lorsque les employés sont licenciés au profit de l’économie électronique globale. Pensez au journal local de quartier qui emploie un grand nombre d’employés à proximité dans ses bureaux, établissements d’estampage et de soumission. Il devient obsolète avec la mise en place d’un grand site Internet ne contenant aucune réputation corporelle car ce pays s’appuie sur des indépendants et installe son siège social dans un pays respectueux de l’impôt sur le revenu, comme l’Irlande ou le Luxembourg. Vos annonceurs locaux se déplacent en masse vers la nouvelle société Internet. Ainsi, la ville et les gouvernements fédéraux ont perdu une grande partie de leurs recettes fiscales. Ils doivent maintenant réduire leurs dépenses, financer de nouveaux régimes de santé et trouver des ressources de remplacement pour leurs bénéfices.